Lundi 20 avril 1 20 /04 /Avr 19:03
 

Un rêve réalité

 

Histoire vraie que j'ai immédiatement transformé en une lettre destinée à une fiancée.

 

 

Bonjour mon cœur,

Il faut que je t'avoue quelque chose que j'ai vécu la nuit dernière. Je me suis endormi tranquillement, serein en repensant a notre dernière nuit d'amour avant mon départ pour la province. En me remémorant cette belle soirée, je me suis rendu compte que ma seule volonté était de te faire découvrir les points les plus sensibles de ton anatomie et c'est vrai que j'ai beaucoup utilisé mes mains et ma bouche. Et que mon petit sexe ne s'est pas trop occupé de toi, tellement attentif à la réaction de ton corps sous mes caresses manuelles et buccales. Cela a duré si longtemps, et c'était si intense, que ton ventre lâchait des flots de liqueur odorante et salée très agréable. Mais quand il a fallu que j'éjacule, j'ai carrément explosé sur tes fesses et ton sexe et j'ai pas assuré coté pénétration. On ne peut pas toujours s'occuper de l'autre et penser a soi. Franchement raté les effets. Mais comme tous les garçons, j'étais quand même fier de moi de t'avoir fait découvrir des trucs.

Donc, j'ai fait un rêve de folie avec toi dans mon lit et j'ai tellement bien revécu cette fameuse nuit que cette fois j'ai décidé d'assurer coté sexe. Je t'ai pénétrer très longtemps devant, derrière, et pour finir par éjaculer bien au fond de ton ventre. Je te sentais heureuse et un sourire se dégageait du coin de tes lèvres comme pour me dire merci.

Cette fois, j'étais satisfait et le pire c'est que ce moment de bonheur, je l'ai vécu tout seul et cela a fini par me réveiller.

Un peu étonné et surpris, je te cherchais d'un œil, et j'allais en tatonnant pour sentir ton corps. Rien. Quand j'ai passé ma main sur mon ventre, quelle ne fut pas ma surprise de sentir que j'avais du sperme plein les poils. J'ai éclaté de rire et en pensant très fort à toi j'ai compris que tu étais la femme de ma vie. Je t'avoue quand même quetu es la seule femme qui m'ai fait éjaculer dans mon lit en rêvant. Voilà l'effet.

Je t'aime , mon cœur et je suis désolé d'avoir encore une fois loupé ton ventre et pourtant je t'assure, j'étais bien au fond. Tires.

Bisous, dors bien et j'espère que cela te fera rire demain en te réveillant.

Gros bisous sur mon clitoris et à mon petit abricot si mouillée

je t'aime

Moi, le tocard de ta vie.

 

Doumé

Par Doumé - Publié dans : Seul(e)
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Lundi 20 avril 1 20 /04 /Avr 19:02
 

Miss Mousse

 

Je m'appelle Stéphanie, j'ai 22 ans et je suis une étudiante sérieuse, plutôt timide et particulièrement réservée. Pour faire court sur ce sujet dont je ne suis pas intarissable, j'ai un physique plutôt banal et je suis une brune au yeux noirs avec des cheveux mi-longs sans signes distinctifs apparents sinon une poitrine lourde et proéminente. Ma vie universitaire ne m'interdit pas d'avoir quand même un petit ami et ils nous arrivent de temps en temps de sortir.

 

Pour la fête de la musique de l'année dernière, avec quelques amis, nous avons décidé d'aller dans une discothèque bien branchée du centre ville pour une soirée mousse. Je suis habillée d’un jeans blanc et d’un tee-shirt blanc et nous nous sommes tous retrouvés préalablement pour diner chez un couple de copain résidant proche de la boite. La soirée est bien arrosée, il fait beau. Je suis dans un état d'esprit très détendu, voire extrêmement détendu et accompagnée de mon petit cœur et de mes meilleures copines.

 

Lorsque que nous arrivons au club, la fête bat déjà son plein, mais le clou de la soirée n'a pas encore commencé. Comme d’habitude, dans de telles circonstances, je me suis mise à danser comme une folle car j'adore me trémousser, surtout quand je suis dans un état second. Je perds toutes mes inhibitions. Quand les pompes déversent des flots de mousse sur la foule en délire, tout le monde crie a tue tête. On continue, mes amies et moi, à nous déhancher et nos tee-shirts ainsi que tous nos vêtements se sont vite retrouvés complètement mouillés. A travers le tissu devenu pratiquement transparent, on peut voir mon soutien gorge et mon string, surtout que mon ensemble intime est en dentelle rouge. Nous nous sommes mises à rire comme des folles en faisant des blagues ou des commentaires humoristiques sur untel ou une telle. A ce moment là, mon petit ami, qui est au bar et nous regarde nous amuser, vient me voir en me disant qu'il y a un concours de miss Mousse sur le podium, organisée par le club, et qu'une bouteille est offerte à la gagnante. Évidement, je refuse tout de go, confuse et rouge comme une pivoine qu'il ait pu penser à moi.

 

Après d'interminables palabres au bar, mes copines et lui réussissent à me convaincre d'accepter car de toute façon, je suis la mieux équipée du genre grosse poitrine. Ma meilleure amie me retire mon soutif en me susurrant à l'oreille que, sans ce sous vêtement l'effet est plus bœuf. Merci pour mon image. De toute façon, le Dj cite mon nom au micro et je ne peux plus reculer. Je suis invité à me présenter et à monter sur le podium. Toute la salle crie « Stéphanie » avec les regards braqués sur moi. J'ai malgré tout quelques réticences et surtout que je sens que je viens d'être piégée par mes proches. Je m'envoie, cul sec, leurs verres posés sur le comptoir et je décide de leur montrer ce dont je suis capable. Je m'exécute et je rejoins l'animateur avec la lumière du suiveur sur moi durant ma longue traversée du désert. Je suis la, exhibée comme une bête de foire, mais, bizarrement, je me sens bien surtout que plusieurs autres concurrentes viennent me rejoindre. Pour certaines il n'y a pas de problème d'exhibition, elles sont franchement à l'aise. Nous devons nous trémousser lascivement et érotiquement en proposant au public un show des plus chaud.

 

C'est parti. L'animateur envoie la musique et petit à petit élimine des filles une à une pour garder la lauréate. Je me sens devenir une vraie compétitrice et avec l'encouragement du public et la vue des autres concurrentes, je me lâche. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je me retrouve la poitrine offerte. Tout le monde peut voir mes gros pomélos avec de grosses auréoles brunes dont les pointes sont dressées d'excitation. Je ris aux éclats et en balançant mes épaules, je les fais tournoyer. En fait, je n'ai fait ça que pour mon ami et là, j'ai l'intention de montrer ce que je propose à mon homme quand j'ai envie qu'il craque. Je ne vois plus personne et je suis seule sur la scène. Je joue le jeu à fond comme une femme qui veut séduire son amant. Mon apparence quelconque n'a plus d'importance. Je suis lancée et prête à gagner. J'ouvre mon jean et je le fais descendre pour me retrouver en string sur le podium. Je joue avec mon corps sensuellement et érotiquement sans jamais dépassé la limite de la décence. En ouvrant les yeux, je me rends compte que nous ne sommes plus que deux sur scène mais que ma voisine est nue et que son comportement très hot n'est pas dans mes cordes. Je m'arrête, et comme si j'étais l'animatrice, je me dirige vers elle pour la désigner comme gagnante. Je crois qu'elle aurait pu aller très loin et moi, c'est déjà énorme ce que j'ai fait. Nous sommes toutes les deux applaudies et cette jolie jeune femme est désignée officiellement comme Miss Mousse par le patron de l'établissement. Nous nous rhabillons et elle est invitée a une table VIP avec ses amis pour recevoir son cadeau. Pour ma part je rejoins mes et mon ami, excitée comme une puce. Mon ventre est plein d'énergie liquide prête à fondre a la moindre sensation.

 

Je suis en train de me rendre compte que j’ai dansé en m’exhibant devant tout le monde. Je me suis caressée cette superbe proéminence que m’a donnée la nature. Mes pointes s’érigeaient de plus en plus et surtout j'avais terriblement envie d'introduire mes doigts dans mon string pour jouer avec mon sexe. Un truc de fou. Mon ami me ramène a la réalité et en me félicitant m'invite a danser la série de slows. Nous nous melons à la foule et nous nous embrassons. Je sens sa virilité frotter contre mon ventre. Je lui ai fait de l'effet et il me le prouve en mélangeant nos langues avec fougue. Il a même intégré le plat de sa main dans mon jean, a glissé ses doigts dans mon string et son majeur a atteint mon bouton enflammé. Tellement excitée je l’ai aidé à passer en rentrant mon ventre. Trempée, il n'a pas eu de mal a lisser ma fente. Je n'ai plus de jambes. Il me porte et je suis prête a exploser. C'est trop. il s'arrête en me regardant fixement, puis en souriant suce son doigt, m'attrape avec son autre main et nous sortons du club précipitamment en plantant la tous nos amis. La suite de la soirée est un vrai tourbillon mais je garde cette fin de soirée pour moi. Cela devient trop intime.

 

PS: le patron ne me trouvant pas a quand même offert une bouteille a mes amis. J'ai gagné!!!!

 

Doumé

Par Doumé - Publié dans : Exhib
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Lundi 20 avril 1 20 /04 /Avr 19:01
 

 

Une divine amie

 

Je me prénomme Swannee et en tant que ex mannequin suédois, je peux dire, que malgré mes cinquante huit printemps, une hygiène de vie alimentaire et physique stricte et quelques artifices chirurgicaux, je suis encore une très belle femme. Blonde naturelle, j’ai toujours conservé ma pilosité intime pour cacher la seule chose de mon corps dont je ne suis pas fière, en l’occurrence mes grandes lèvres tombantes. J’ai toujours eu un grand sexe épanoui avec une vulve longue et toujours ouverte. Depuis mes premiers rapports, je n’ai jamais eu de difficultés à accueillir au plus profond de mon vagin, les plus gros et les plus longs sexes que la nature a bien voulu me présenter. J’apprécie les puissantes virilités et je les ai cherché durant toute ma vie. Je ne me suis jamais mariée, dans un premier temps, à cause de mon métier qui m’a fait faire le tour de la planète, et deuxièmement, parce que je n’ai jamais émis le désir d’avoir un enfant. Ce parcours de vie exceptionnel m’a apporté tous les plaisirs inimaginables. Aux détours de mes pérégrinations, j’ai connu des hommes de tous les âges, de toutes les races et de tous les métiers. Du sans domicile fixe à Manhattan au maharadja de Bombay, j’ai eu beaucoup de plaisir à partager des moments intenses et inattendus avec ces hommes si différents. J’ai très vite découvert les vices et les vertus de la sexualité. Les hommes ont toujours été les proies les plus appropriées à ma sexualité débordante et libérée. Les pénétrations multiples, en club ou en soirée privée, ont fait parti de mes plus grands plaisirs. Ingrid, ma meilleure amie, beaucoup plus jeune que moi a toujours écouté sans rien dire mes histoires sexuelles les plus abracadabrantes les unes que les autres. Un jour, elle m’a accompagné, à sa demande, dans une soirée échangiste organisée chez un ami. Arrivées sur place, je lui ai souhaité de bien s’amuser et de trouver tout le plaisir qu’elle souhaitait. Entourée de plusieurs virilités et à genoux en train de sucer un très beau spécimen masculin, je sentis une bouche s’en prendre à mon sexe. Cambrée au maximum pour que cette ventouse puisse bien atteindre mon clitoris, j’attendais la montée du plaisir, en en donnant de mon coté. Mon clitoris et mes grandes lèvres, savamment aspirés et ce doigt remuant dans mon anus m’ont provoqué une telle jouissance que je n’ai pas pu continuer ma fellation bien que gardant le membre tendu dans ma bouche. Aucun homme ne m’avait produit un tel effet et aussi rapidement. Je voulais savoir qui était ce merveilleux suceur quand à ma plus grande surprise je reconnus la silhouette et les cheveux d’Ingrid. Je me suis retournée et j’ai écarté au maximum les jambes pour qu’elle puisse continuer dans de meilleures conditions. Elle m’a procuré une jouissance clitoridienne ininterrompue de nombreuses minutes pendant que l’homme que j’avais sucé faisait au dessus de moi des pompes en pénétrant à nouveau ma bouche. Il a déversé un flot de sperme au fond de ma bouche et de mon coté j’ai senti partir de mon sexe une ondée inhabituelle. Libérée, je me suis relevée et j’ai embrassé goulûment Ingrid. Nous avons partagé les jouissances que nous avions mutuellement reçues, en un long baiser. Depuis, lors de nos soirées entre filles, nous faisons l’amour.

 

Doumé

Par Doumé - Publié dans : Entre filles
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Lundi 20 avril 1 20 /04 /Avr 18:58
 

Vive les jumelles

 

Depuis que nous sommes enfants, nos parents nous emmènent en vacances dans des camps de naturistes. La nudité est, à vrai dire, une seconde nature. Ma sœur jumelle et moi-même avons découvert à notre adolescence que nous pouvions jouer avec les garçons. La naissance, ferme et pointue de nos seins, ainsi que la légère pilosité de notre bas ventre attiraient, de plus en plus, leur attention. Nous avons vraiment commencé à délirer à notre majorité sexuelle et cela fait maintenant quelques années que nous en profitons pleinement.

 

Nous sommes, maintenant des jeunes filles de vingt ans et notre physique a atteint sa plénitude dimensionnelle, voire surdimensionnée. Nous sommes très exhibitionnistes et nous adorons parader, nues comme des vers, sous le nez des jeunes hommes de notre âge. Cela ne nous empêche pas de voir les vieux nous mater à la moindre occasion. Ceux-la, nous les allumons surtout lorsque leurs rombières sont près d’eux et que l’on sait qu’ils vont se faire piquer à nous reluquer de travers ou en douce. Le résultat est imparable.

 

J’ai oublié de vous dire que ma sœur se prénomme Aube et comme mes parents ont eu de l’humour lors de notre naissance, ils m’ont affublé de celui de Aurore. Tout cela pour se venger d’avoir obligé notre mère à nous faire voir le jour à cinq heures du matin.

 

Quant à notre corps, il ne manque pas d’intérêt. Nous sommes de vrais clones et mes parents ont énormément de difficulté à faire la différence quand nous le décidons. Sauf quand nous sommes nues car notre mère connaît tous les détails de nos corps. Nous sommes dotées d’une longue chevelure brune venant chatouiller la naissance de nos fesses rebondies. Nos yeux sont noirs et nos sourcils se rejoignent au-dessus de notre nez. Nos grandes bouches ourlées et magistralement dessinées donnent des idées évidentes à ces messieurs. Ils les voient bien coulisser en douceur et de façon sensuelle sur leurs sucres d’orge de toutes tailles jusqu’à la libération de leurs sucs procréateurs. Le summum de leurs fantasmes se fixent sur nos superbes paires de mamelles, lourdes et impressionnantes, qui mettent en évidence des soutiens gorges d’une taille de bonnet 110 D. Notre taille de guêpe met encore plus en valeur le volume de nos seins et de notre arrière-train.

 

Lors de nos ballades dans les dunes ou sur les plages, ils se balancent paisiblement et nos larges mamelons bruns qui ornent ces globes bien blancs sont inévitables. Quand nous sautons dans les vagues de la mer, étonnement, nous attirons toujours une vague de baigneurs mâles aux yeux exorbités. Nos jeux aquatiques excitent vraiment tous les hommes quels que soient leurs âges mais ils énervent beaucoup leurs femmes. Certaines ne manquent pas de faire quelques commentaires bien acides et de nous rappeler que nous sommes jeunes et qu’un jour nous n’aurons plus ce succès tant jalousé. Nous, nous en fichons totalement et nous remercions Dame Nature de nous avoir si avantageusement dotée, pour l’instant, car nous sommes des jeunes filles sans cervelles.

 

Nous sommes également des folles de sexe et nous aimons échanger nos petits amis réguliers sans qu’ils s’en rendent compte. Quand nous sommes en vacances nous leur sommes fidèles à notre manière. Le soir, nous allons danser au bord de la piscine du camp. Dès que la musique tecno explose, nos corps s’affolent par des soubresauts divers et incontrôlés. Nos poitrines se déchaînent et elles nous font parfois un peu mal lorsqu’elles se ballottent dans tous les sens. Cela est principalement du à notre trop plein d’énergie et à notre façon de danser un peu excentrique et provocatrice. Notre bas ventre à la toison triangulaire fournie et bouclée, cachée sous un paréo transparent se découvre de temps en temps lorsque nos mouvements de jambes écartent le léger tissu noué à la taille.

 

Quand vient le moment des slows, nous nous frottons langoureusement à nos partenaires. Comme nous sommes très grandes, puisque nous mesurons un mètre quatre vingt deux, nous préférons danser avec des hommes de notre taille ou plus petits. Ils ne se privent pas lorsqu’ils en ont l’opportunité de poser leur visage entre nos seins. Les plus audacieux n’hésitent pas à lécher leurs pointes. L’effet ne se fait pas attendre. Ils se mettent à durcir très vite, à vouloir presque sortir de notre corps. Nous en profitons, en leur posant une main derrière la nuque, pour maintenir leurs bouches sur nos aréoles et pour bien sentir leur langue nous titiller. Comme nous sommes très friandes de ces caresses buccales, nous ne restons pas insensibles. De leur coté, les garçons ont du mal à cacher leur émotion, car nous sentons leurs sexes se presser fermement sur nos cuisses. Quand nous sentons que la pression monte dans leur colonne de chair, nous changeons de cavalier et nous laissons nos partenaires précédents dans une situation inconfortable au milieu de la piste. Le moment venu, nous, nous échappons de la zone de danse pour courir dans les dunes, main dans la main, avec ma sœur, en riant a tue-tête.

 

Nous savons que les plus frustrés vont tenter de nous suivre et nous l’espérons sincèrement car nous savons que, lorsque nous sommes dans cet état d’excitation, nous faisons que commencer notre soirée. Nos ombres furtives s’éloignent dans la nuit éclairée par une pleine lune magnifique. Ceci explique cela. Il leur est très facile de nous localiser mais nous essayons tout de même de jouer au chat et à la souris. Nous savons qu’ils attendent que nous nous arrêtions pour venir mater en douce. Quand ils s’approchent de trop près, nous les repérons et nous repartons car ils sont encore trop nombreux. Nous souhaitons conserver les plus acharnés dans notre sillage. Nous avons le temps et toute la nuit est pour nous.

 

Le moment venu, nous nous fixons et nous détachons nos paréos que nous étalons sur le sable. Entièrement nues et offertes à toute convoitise visuelle, nous nous allongeons et nous attendons face vers le ciel en admirant les étoiles. Des bruits furtifs ne tardent pas à venir jusqu’à nos oreilles. Les voyeurs arrivent. Nous distinguons, par un balayage du regard quelques formes humaines dont la virilité ne laisse aucun doute quant à leurs sexes. Ils restent à distance respectable mais comme nous ne bougeons toujours pas, les plus timides s’approchent des premiers. Je dois dire qu’ils sont assez nombreux des petits comme des grands, des gros comme des maigres. Peu importe tant qu’ils restent à leur place.

 

Je me retourne et je me retrouve la tête aux pieds d’Aube dans la même position qu’elle. Je pose ma main sur son pubis. Elle en fait de même sur le mien. Simultanément, nos pouces disparaissent entre nos jambes. Nous ne bougeons plus, nos yeux fixés vers ces hommes qui nous entourent sans rien dire. Nous percevons leur respiration et certains ont déjà une main active sur leurs membres tendus. Nous admirons le spectacle en ombre chinoise. De notre coté, nous ne restons pas inactives l’une envers l’autre. Nos pouces glissent doucement jusqu’à notre périnée et remontent jusqu’à notre petit bouton sensible. Les voyeurs ne peuvent qu’imaginer nos caresses très intimes car nos doigts et nos cuisses cachent la vision de nos sexes.

 

Certains tentent de s’approcher pour mieux voir. Nous ne sommes pas encore prêtes et, encore moins, assez excitées. Nous arrêtons nos mouvements et de notre main libre, nous leur faisons signe de rester où ils sont. Tels des chiens de chasse, ils se mettent à l’arrêt. Nous reprenons nos manipulations vaginales et clitoridiennes. Notre plus gros doigt coulisse sur nos lèvres et notre clitoris avant de revenir pénétrer dans notre vagin. Nous, nous connaissons par cœur et nos mouvements sont identiques. Notre liqueur commence à inonder notre entrejambe quand l'extrémité de nos pouces, entièrement enfoncés dans nos grottes respectives, exercent une rotation précise sur notre point G. Nos ventres réclament plus. Nous écartons les jambes et nous nous enfonçons deux doigts, puis trois doigts dans la chatte. Nous effectuons des va et vient par saccades. Nous jouissons sous nos propres caresses.

 

Quand nous ouvrons les yeux, les voyeurs nous entourent d’assez près pour ne plus voir la Lune. Eux, ils voient les nôtres. Nous sommes dans notre trip exhibitionniste. On les laisse se masturber mais ils n’ont pas le droit de nous toucher. Je me redresse au dessus de ma sœur, mon sexe sur son visage. J’écarte complètement ses jambes afin d’exhiber son gros bouton turgescent. Je joue d’abord avec en le suçotant savamment afin de le porter à explosion. Je sens le ventre d’Aube se tortiller de plaisir. Un jeune homme, plus curieux que les autres s’approche pour mieux voir. Je le regarde et je sens qu’il espère pouvoir mettre sa langue dans cette touffe accueillante. Je ne le dissuade pas. Je recommence à pénétrer le vagin offert avec mes doigts et je m’active avec violence. Aube a lâché mon clitoris et s’est mise à crier en balançant son bassin. C’est le moment que je choisis pour la libérer de mes phalanges. Un jet cyprin explose de son sexe et vient terminer sa course sur le visage du curieux. Il a un mouvement de recul compte tenu de l’effet de surprise. Il s’essuie le visage sous les sarcasmes des autres et disparaît. Les jambes de ma sœur sont incontrôlables durant quelques secondes. Elle est épuisée mais elle continue de me lécher. Je la laisse récupérer et je ne touche plus à son sexe car je sais qu’après chaque éjaculation de jouissance, elle a besoin de se reposer avant d’être prise par un sexe d’homme. Or, nos petits amis ne sont pas là et il est hors de question que ces hommes profitent de nos orifices. Elle a compris la situation et elle veut maintenant me donner du plaisir. Je pose ma tête sur le haut de sa cuisse à la hauteur de ses délicates bouclettes odorantes par son flot de plaisir. Sa langue va et vient entre mes lèvres et son index tourne autour de ma petite rosette. Les sexes ne sont pas loin de mon fessier. J’adore me faire prendre par mon orifice le plus étroit et j’imagine un de ces hommes en train de me forcer les sphincters. C’est un simple doigt qui est enfoncé au plus profond de moi. Un deuxième l’accompagne et s’active dans mon fondement. Aube a avalé mon clitoris et elle est en train de me défoncer l’anus. Je jouis comme une folle et je propulse mes fesses vers ses doigts pour qu’ils s’enfoncent encore plus loin et encore plus vite. Je ne suis pas la seule à apprécier car je sens des flots de sperme exploser sur mon dos et mes fesses et couler vers le long de ma colonne. Je me libère de l’emprise d’Aube et je m’assieds à coté d’elle.

 

Je regarde les sexes encore tendus de ces hommes et je propose à ma sœur de les masturber pour qu’ils éjaculent sur nos seins sans qu’ils aient le droit de nous toucher. Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous avons libéré tous ceux qui se sont présentés à nous et nos grosses mamelles étaient couvertes d'un liquide blanchâtre qui s'éclaircissait en dégoulinant.

 

La petite opération terminée, nous nous sommes embrassées. En nous levant, nous avons frotté nos corps, l’un contre l’autre, pour mélanger les liqueurs et nous avons couru jusqu’à la mer pour nous nettoyer. Dans l’eau j’ai passé ma main entre les cuisses de Aube. Elle était encore si excitée et prête à se donner que je l’ai raccompagné vite fait à notre bungalow. Nous avons bien dormi dans les bras l’une de l’autre jusqu’à l’heure de l’apéro.

 

Le lendemain midi, quand nous sommes arrivés au bar de la piscine, le serveur nous a annoncé que nous avions un Open Bar car nous avions des verres offerts par des hommes qui voulaient rester anonymes. Nous avons souris et nous, nous sommes tapé dans la main. Nos vacances semblaient prendre un bon départ et nous n’étions pas au bout de nos fantasmes exhibitionnistes.

 

 

Doumé

Par Doumé - Publié dans : Entre filles
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