Pluralité

Mardi 21 avril 2 21 /04 /Avr 18:05
 

Le désert de Gobi

 

Voici une histoire personnalisée faite à la demande de Pupuce. Son idée était : Mon mari et moi sommes dans une tente avec des danseurs et danseuses dans le désert de Gobi. La suite vous appartient;

Voici ce qui m'est venu à l'esprit

 

Mon surnom intime est Pupuce. C'est celui dont m'a affublé mon mari. Il est pas très original mais il est vrai que j'ai mis le grappin dessus et que je jour ou je me suis attachée à ses poils, je ne l'ai jamais plus quitté plus d'une journée. Je vais vous raconter une jolie histoire que nous avons vécu mon mari et moi l'été dernier. Nous sommes un beau couple venant de dépasser la trentaine, avec de beaux enfants et un bel avenir, mais tout ce qui est beau a toujours sa faille. Nos enfants et nos activités professionnelles creusent un fossé invisible qui laisse sur l'autre rive nos désirs, nos passions et nos pulsions sexuelles. Surtout pour moi, qui suis très gourmande et très amoureuse de mon époux depuis de nombreuses années. Il m'arrive de temps en temps, lors de moment de grandes solitudes de rêver à des originalités sexuelles que je vais garder pour moi. Lorsque j'évoque le sujet avec mon cher et tendre et surtout de la platitude voire de l'absence de nos ébats sexuels, j'ai une phrase récurrente. « chéri, nos relations amoureuses sont aussi arides que le désert de Gobie ». Ça a le don de l'énerver mais je dois dire que son honneur de mâle étant touché, il n'hésite pas à m'investir avec force et pénétration, ce qui m'arrache beaucoup de plaisir. C'est toujours ça de gagner.

 

Compte-tenu de notre prise de conscience et de la gravité de la dérive vers le point limite zéro de nos relations amoureuses, nous avons décidé, pour la première fois depuis que nous sommes parents, de prendre une semaine de vacances en amoureux. L'élu de mon cœur s'est occupé de tout et jusqu'au dernier moment, il ne m'a pas révélé la destination de notre voyage . Toutefois, je sais qu'il s'agit d'un pays chaud, car il m'a conseillé d'envisager de prendre une garde robe plutôt très légère et quelques tenues plus chaudes pour la nuit. Je me suis fais un tas de film et j'ai évoqué de nombreuses hypothèses. De toute façon, j'allais bientôt savoir. Il me fallait être patiente.

 

Arrivés à la l'aéroport Charles-de-Gaule, mon compagnon de vie plus trop commune me remet les billets concernant notre périple. En lisant la destination, je me sens rougir et la confusion a envahi mes yeux. Je n'ose pas le regarder mais en mon for intérieur mon cœur a explosé. Comme une vraie morte de faim, je me suis jetée dans ses bras et j'ai gobé sa bouche tel un aspirateur. Sans aucune gêne due a la proximité d'autres voyageurs en partance, j'ai passé mes jambes autour de sa taille comme une vraie jeune fille pleine d'envie et d'attente amoureuse. Je lui suce la langue car je ne veux pas qu'il parle. L'émotion est dans mon échine et dans mon bas ventre. Je me liquéfie en public. Certains peuvent même voir mes fesses lors de mon débordement affectif car je sens une certaine fraîcheur sur mes deux globes arrières et comme je ne porte qu'un string, je ne vous donne pas de détails. Cette situation, un peu exhibitionniste m'amuse et donne le départ à notre aventure. Je n'arrive pas à lâcher prise. J'entends quelques rires dans mon dos. Mon mari en essayant de me décoller de lui, a remonter ma jupe et cette fois dévoiler a tout le monde mon postérieur rebondi. Cette fois, je me laisse retomber au sol pour me rajuster, les joues rosies mais le visage souriant.

 

En reprenant mes esprits, lui riant comme a son habitude avec beaucoup de retenu tout en regardant aux alentours, je relis les destinations du billet. Première étape: Oulan Bator, la capitale de la Mongolie. Deuxième étape: Traversée du désert de Gobi à bord du Transmongolien avec des étapes locales. Troisième étape: Retour à la dure réalité de notre vie actuelle.

 

Trop contente de faire ce voyage avec l'amour de ma vie, et surtout très fière de lui, car comme à son habitude, il sait me mettre au pied du mur et me clouer le bec quelle que soit l'occasion. Je souris d'une façon maligne car je sais pertinemment que je ne vais plus pouvoir prendre en référence ma phrase favorite. Je vais vraiment me retrouver dans le désert de Gobi. J'ai tout de suite compris que je pouvais tirer profit de cette situation. Mais chaque chose en son temps. Pour l'instant, j'ai l'intention de profiter pleinement de mes vacances et de nombreuses envies érotiques germent dans mon cerveau.

 

Durant tout le voyage en avion, je n'ai pas arrêté de me lover contre mon mari, de le toucher, de le palper, de l'exciter, j'ai même pour la première fois mis ma main dans sa poche de pantalon pour vérifier discrètement son excitation à mes avances inaccessibles. J'ai envie de lui trouer le fond pour saisir ce membre déjà au beau fixe. Je ferme les yeux et le film d'Emmanuelle défile dans ma mémoire. Je pose ma tête sur son épaule et à travers le tissu j'exerce des pressions et des mouvement sur son membre. Il se laisse faire. Je le caresse si longtemps et avec tant de tendresse qu'il éjacule dans son slip. Il est obligé d'aller aux toilettes pour se nettoyer. Wahou! Ça commence bien.

 

Je n'ai pas remarqué que la très jolie jeune femme, assise à la place à coté de mon mari, certainement d'origine mongole compte-tenu de ces caractéristiques faciales, a assisté à toutes mes manigances pour faire exploser mon amour dans son pantalon. Elle me sourit avec un regard complice et envieuse. Pour la deuxième fois, le pourpre a entamé mes joues. Nous finissons par discuter en attendant mon petit cochon, et j'apprends ainsi qu'elle fait le même voyage que nous. Elle vit librement en France et elle est bien d'origine asiatique. Elle me dit tout de suite qu'elle est libertine et qu'elle s'est caressée durant notre petit jeu. Elle a beaucoup apprécié. Elle s'est même mordu les lèvres pour ne pas perturber notre plaisir. Elle a vingt cinq ans et elle m'avoue qu'elle aime autant les garçons que les filles. Elle a déjà fait ce parcours l'année précédente et elle a beaucoup aimé les autochtones. Elle va d'ailleurs retrouver certains d'entre eux durant son séjour.

 

Elle n'a pas voulu me dire pourquoi elle y retourne mais a son regard coquin, je suppose qu'il y a du plaisir dans l'air. Quand mon mari revient de son petit nettoyage intime, elle le fixe avec un petit rictus révélateur au coin des lèvres. Je l'imite aussitôt. Lui, a compris la situation et il n'est même pas gêné. A ma grande surprise, il la salue en lui baisant la main. Ce malotru ne me l'a jamais fait. Notre trio insolite continue à faire plus ample connaissance durant le vol et nous avons fini par ne plus nous quitter pendant ce séjour. Nous rions beaucoup. Durant le voyage en train, elle est restée très discrète, sans s'immiscer à notre intimité lors de toutes nos parties de jambes en l'air. Il faut dire que j'ai un stock de jouissance en réserve et que je compte bien profiter de toutes les érections de mon amant de mari. Toutes les opportunités sont bonnes et je dois dire que mon partenaire est à la hauteur. Notre voyage de noce ne fut pas aussi explosif.

 

Au bout du troisième jour, nous arrivons au monastère de Khamriin Khiid et plus particulièrement près des 108 grottes de prière. Cette endroit religieux ne fait qu'accentuer mes fantasmes surtout quand j'entends le nom des grottes.

 

Sha-Dan-Zu, c'est le prénom de notre nouvelle amie, nous a présenté à un groupe de 6 éleveurs de chèvres. Elle nous précise que l'année précédente, ils étaient 8 et que les deux plus âgés sont retournés dans leur famille. Elle nous invite à passer la soirée avec eux dans leur Yourte. Il est déjà tard et nous n'avons pas envie de dormir au monastère. Nous avons passer une excellente journée avec ses hommes au milieu de leurs bêtes et des chevaux. En fait j'ai guère envie que cela ne cesse surtout que cette journée à été très tactile avec Sha et très nouveau pour moi. Sans hésiter, mon mari et moi acceptons de passer une soirée dans une tente mongole avec notre amie et ces hommes qu'elle semblait bien connaître et que nous avons pu apprécier.

 

La soirée est très amusante, les hommes, aux visages durs et burinés ont entre 16 et 45 ans. Je finis par les trouver beaux. Ils ont un physique musculeux, les yeux rieurs et beaucoup de fierté dans leur comportement, mais le plus important c'est qu'ils dégagent une force qui excitent énormément mes sens. Nous avons bu plus que de raison un breuvage mongol qui me tourne un peu la tête. Une certaine euphorie s'empare de moi et je vois que mon mari n'est pas mal non plus.

 

Notre amie m'a prêté une robe locale en soie très légère, toute simplement attachée a la taille par une ceinture de même texture. Je tournoie comme une petite fille et le bas de la robe gonfle. Je me remémore des souvenirs d'enfant.

 

Après le diner, l'alcool continue à envahir nos esprits et commence à me chauffer des zones bien précises du corps. Notre belle guide ne fait rien pour éteindre le feu, bien au contraire, et je me surprends a être réactive à son toucher.

 

Nous ne comprenons pas tout ce qu'elle leur dit mais ils s'amusent beaucoup et cela nous amuse également. Puis vint la danse des tasses des Dorvots. Cela consiste a danser avec des tasses pleine d'alcool en équilibre sur les mains et sur la tête et de finir par les boire. Au moins c'est l'interprétation que nous ont fait ces athlètes à demi nus. J'ai des sensations bizarre au fond de mon ventre et je me colle contre mon mari qui semble lui aussi bien parti. En passant ma main sur sa braguette, je sens sa virilité dressée. Il faut dire que sa seule et belle voisine a souvent la main sur ses cuisses. Il est comme dans l'avion entre nous deux, et j'ai remarqué que ses doigts remontent haut entre ses jambes sans atteindre son sexe. Je ne sais pas pourquoi, j'ai envie de rien dire car de mon côté, j'ai beaucoup apprécié ses petites caresses.

 

J'oublie vite cette situation nouvelle et ambiguë car je suis subjuguée par le ballet de ces hommes au torses nus effectuant des figures mettant en valeur leur puissance. L'envie d'être prise dans cette yourte a commencé à investir mon esprit. J'ai déjà eu le fantasme de faire l'amour avec plusieurs hommes mais cela ne me semble qu'un rêve irréalisable. Mais là, à ce moment précis, j'ai le désir qu'il se concrétise. J'ai le feu en moi.

 

Sha se lève en abandonnant mon mari à son triste sort et elle me prend par la main pour me relever, le laissant planter la, seul. Les hommes s'écartent et nous les remplaçons au milieu de la yourte. Nous commençons à danser et à la manière des danseuses mongoles, nous bougeons la partie haute de notre buste. Nous nous frottons l'une à l'autre et nous finissons par nous embrasser. Sa langue investit ma bouche avec beaucoup de douceur. Cette sensation est inhabituelle et des plus agréable. Je me laisse faire et je lui rends avec plaisir son baiser. Nos langues s'emmêlent sous les applaudissements des hommes. Mais je suis seule sur terre entre les mains de ma belle. Je lui appartient. Je sens ses mains parcourir mon corps en tournant autour de moi. Mes pointes de seins sont érigées et ils apprécient la douceur de la soie. elle se plaque dans mon dos et sans que je n'omette aucune objection, elle ouvre et retire le haut de mon ensemble devant tout le monde. Pas un bruit dans la yourte mais des yeux fixés sur notre duo et mon début de nudité. Je me laisse faire et en déroulant ma ceinture, ma jupe longue tombe au sol. Je suis en string, à la merci d'une jolie asiatique et au milieu de 7 hommes. Je ne suis pas inquiète et je me laisse manipuler par elle. Nous nous sommes très vite retrouvées nues sous le regards brillants des hommes. Nos caresses deviennent précises, nos jeux ont un goût de sensations fortes. Je vibre sous sa langue et sous ses doigts. Mon mari est le premier a frapper dans ses mains tout en me regardant avec une expression d'amour que je ne lui connaissais pas. Je suis même étonnée d'avoir sa bénédiction, lui si jaloux bien qu'il soit si souvent absent. Je me suis donc lâchée et j'ai rendu coup pour coup les plaisirs à la belle. Cela dure un bon moment et elle m'arrache mon premier orgasme de la soirée. Je vais me souvenir très longtemps de cette première relation féminine.

 

Mes jambes deviennent un peu molle et c'est le moment qu'elle choisit pour inviter les hommes a nous rejoindre. Ils se retrouvent vite fait nus avec des sexes déjà raides de toutes natures, des gros, des petits, des longs, des courts mais tous bien durs. Ils se frottent à nous et j'ai l'impression des milliers de mains ont investi mon corps. Je suis transportée. Aucun orifice n'est épargné. Je ne refuse rien trop heureuse de tant de virilité. Nous nous sommes retrouvés à genoux au milieu de ce groupe de membres tendus. Je suce et je suce encore, je ne sais plus ou donner de la tête, puis sans m'en rendre compte, je me suis retrouvée seule. Tout bascule et je m'offre à tous ces hommes forts dans tous les sens et dans toutes les positions. Par moment je ne touche plus le sol. Je suis empalée successivement; Entre deux jouissances, je vois la petite coquine à califourchon sur mon mari et elle s'en donne a cœur joie. Je n'ai pas la force de lui en vouloir puisqu'elle me fait vivre un fantasme et que je jouis comme une folle. Mon sexe a fini par débordé de semence masculine, j'ai eu de nombreux orgasmes quand je sens un gland forcé mon anus doucement, je garde les yeux fermés, je ne me retourne pas pour voir qui me prend mon petit orifice très privé. Cela m'est égale et je suis prête à l'offrir un parfait inconnu. Il m'investit tout doucement, étape par étape avant de s'agiter violemment comme une bête dans mon fondement. Je ressens la puissance de cet homme de la steppe. J'ai tellement joui durant cette soirée que je finis par exploser en sentant ce sexe se vider dans mes entrailles. Il ne bouge plus et son sexe en diminuant de volume s'échappe de mon anus.

 

Je ne bouge plus, non plus, et soudain, je sens des lèvres m'embrasser tendrement dans le cou et me dire, chéri, je te remercie de m'avoir fait ce plaisir en m'offrant ta petite rosette. Je n'ose pas ouvrir les yeux. Je passe ma main entre mes jambes,je suis trempée, énormément mouillée de partout. Je me suis même fait dessus de tant de jouissance. J'écarquille mes quinquets et je découvre que je suis chez moi, dans mon lit et que je viens de faire un rêve de folie.

 

Je me retourne vers mon mari, en lui disant: Mon Amour, en passant par ce canal tu m'as fait faire le plus beau voyage érotique. Je l'embrasse, lui tourne le dos pleine de pensées agréables. Malgré tout, depuis, je ne lui fais plus ma réflexion car je sais que dans le désert de gobie la vie sexuelle est fantastique.

 

Doumé

Par Doumé - Publié dans : Pluralité
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Mardi 21 avril 2 21 /04 /Avr 17:57
 

La folie d'Alice

 

Je me prénomme Alice, j’ai cinquante quatre ans et je vis prés d’Avignon, dans une très jolie petite ville du sud de la France, réputée pour son vin. Divorcée depuis une bonne dizaine d’années, j’ai une sexualité riche en événement. Je dois dire que ma séparation d’avec mon époux était déjà la conséquence de mes frasques. Mon ex mari et père de mes enfants a certainement vécu un enfer durant toute la durée de notre mariage car j’ai toujours saisi les opportunités qui s’offraient à moi. D’abord en cachette puis au grand jour. Il ne pouvait pas me présenter un ami sans que je n’ai l’ambition de l’avoir au moins une fois pour moi et en moi. Je n’avais pas de doute quant à mon Amour pour lui en tant qu’ homme mais il ne m’a jamais réellement satisfaite sexuellement. D’ailleurs, je ne l’ai jamais remplacé en tant que compagnon de vie. Par contre mon lit ne désemplit pas, soit avec des femmes, soit avec des hommes, soit avec les deux en même temps. Un rituel, que j’ai adopté depuis maintenant une bonne paire d’année en dehors de mes périodes de recueillement psychologique que j'appelle ma trêve de sexe, consiste à me faire accompagner le premier samedi de chaque mois, dans un endroit forestier que connaissent bien les couples dont les femmes apprécient les multiple partenaires. Claude, un ami qui profite depuis de nombreuses années de mon appétit dévorant, est mon chevalier servant pour cet exercice de style car c’est lui qui m’a fait découvrir cet endroit. J’y suis maintenant connue comme la louve blanche et j’ai un véritable fan club de plus en plus important. Le message est passé très vite dans le milieu des voyeurs actifs. Pour éviter quelques problèmes avec la maréchaussée, je n’ai pas d’heure précise de passage et certaines fois nous récupérons nos amis et nous allons jouer dans un endroit plus discret, et souvent dans un arrière petit bois. Le nombre ne me fait pas peur car ils me respectent tous et quand je dis stop, les garçons ne deviennent plus entreprenants. Le scénario de départ est toujours identique et je ne m'en lasse pas surtout qu'il y a de la nouveauté a chaque fois, mais je ne sais jamais à quel moment. Je sors de la voiture de mon ami, les hommes m’entourent sans me toucher. Je commence une danse lascive et érotique en les approchant et effleurant leurs sexes. Ils savent que les hostilités peuvent être lancées quand je suis totalement nue. Dès ce moment, je leur appartiens jusqu’à épuisement. Ma position préférée, pour les prévenir que je suis prête à subir leurs assauts, consiste à me pencher sur le capot encore chaud de la voiture et de leur présenter mes deux orifices disponibles. Je ne compte pas le nombre d’assaillants. Ils me prennent, la plupart, ma vulve mouillée, mais les plus hardis osent s’en prendre à ma petite rosette. Paradoxalement, dans ces moments, je ne suce pas les sexes. Ils passent derrière moi, un à un, et la séance peut durer longtemps. En fait, tant que mes jambes me supportent, car les jouissances successives me fatiguent, j’accepte de nouvelles pénétrations. Quand je suis épuisée, je me redresse, je me rhabille, les fesses, le dos et les cuisses pleine de sperme. Claude m’ouvre la porte et nous disparaissons sous un concert de klaxons et d’applaudissements. J’en suis fière et souvent je m’endors en voiture. Je sais que les garçons savent que je ne reviendrai que le mois suivant et je les espère encore plus nombreux. Jusqu'où ma folie m'emportera t elle? c'est devenu une drogue et plus je consomme et plus j'en ai besoin. Que faire?

Doumé

Par Doumé - Publié dans : Pluralité
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