Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 10:50
 

Je me prénomme sylvie et je viens de vivre une nouvelle expérience sexuelle avec mon petit ami. J’ai dix neuf ans, et je vis maintenant dans un petit studio près de la porte Dauphine, car je fais mes études à la Faculté, juste à coté. Je suis blonde, pas excessivement jolie mais j’ai beaucoup de charme. On ne se retourne pas sur mon passage mais j’ai une bouche pulpeuse et mes amis me charrient souvent sur ce qu’ils pourraient faire avec. Surtout depuis que j’habite ce quartier où il y a quelques péripatéticiennes, dont c’est la spécialité. Sauf que la plupart sont des transsexuels.

 

Je sors avec François, mon petit copain depuis déjà trois ans. Nous, nous sommes connus au lycée et il y a trois mois, lors de mon emménagement, nous avons pendu la crémaillère. Ce soir là, j’ai cédé à ses avances et je me suis offerte à lui. Certainement la conséquence d’une crise d’indépendance et d’une consommation un peu excessive de l’alcool. De toute façon, cela faisait un moment que cela me titillait car jusqu’à ce jour, nous ne pratiquions que les caresses manuelles et que j’en tirais souvent du plaisir. Cela semblait nous convenir à tous les deux, bien que lui, n’étant pas puceau, avait d’autres envies plus pénétrantes.

 

Connaissant ma virginité, il avait été très doux et sa concentration sur mon intimité triangulaire s’était révélée très efficace. Il a mis toute son énergie à passer sa langue partout sur mon sexe, de ma vulve à mon petit bouton, sans oublier de temps en temps mon petit trou. C’était une grande première pour moi, car je ne connaissais pas encore le plaisir d'avoir une bouche active à cet endroit de mon anatomie. Jusqu'à ce jour béni, je l’avais autorisé uniquement à me masturber. Il a titillé mon clitoris à le faire gonfler à craquer pendant que ses doigts jouaient avec mes grandes lèvres en insinuant progressivement un doigt dans mon sexe sans forcer ma petite membrane encore innocente. Je l’aurai senti. Mon petit trou n’était que liqueur et mes jambes étaient si écartées qu’il n’y avait aucun doute sur mes attentes. Il l'a d'ailleurs bien compris car, ce jour la, je n'ai même pas eu le droit de le sucer. Je l’ai regarder sans bouger enfiler un préservatif, et il s’est positionné au dessus de moi avec beaucoup de délicatesse, tout en me regardant fixement afin d'avoir mon approbation.. Je n’avais jamais vu son sexe avec un petit réservoir à son extrémité. C’était drôle et troublant à la fois. J’aurai sincèrement préféré qu’il me prenne sans cette protection, mais de nos jours il est préférable de vivre couvert. Son long membre large et dur a glissé tout doucement de bas en haut et très longtemps le long de mes grandes lèvres sans oublier le petit bout gorgé de sang. Quand il a senti le moment opportun et ma totale détente, il s’est infiltré dans ma gaine toute ouverte avec beaucoup de précaution. La lubrification du condom et ma mouille ont facilité la tache à cette pénétration. Je n’étais même pas tendu et contrairement à l’idée que je m’en étais faite, totalement confiante en mon partenaire. J’ai apprécié la lente progression centimètre par centimètre jusqu’au fond de ma grotte. J’ai eu un peu mal quand il a forcé l’hymen, mais je n’ai pas trouvé cela désagréable. Il s’est bloqué au fond de ma matrice en s'assurant dans mon regard que ça allait. J'ai immédiatement passé mes mains sur ses fesses, qu'il a d'ailleurs bien fermes, pour le maintenir dans cette position, puis j'ai fermé les yeux pour immortaliser ce moment. Après avoir contrôle la douleur et le plaisir, mon sourire l’a libéré et il a entamé un tendre va et vient. J’avais l’impression d’être pleine de son amour et cela me suffisait. Spontanément, j’ai relevé mes jambes pour qu’il puisse coulisser facilement dans mon ventre. La longue attente de cette offrande n’a pas résisté longtemps à son excitation et il se mit à ahaner de plus en plus fort avant qu’il ne s’écroule, vidé, sur moi. Je savais qu’il avait joui. J'étais frustrée car j'avais eu réellement du plaisir mais je ne l'ai pas partagé avec lui puisque je n'ai pas senti sa libération dans mon ventre. Pour ma part, j’étais un peu restée sur ma faim car j'aurai préféré que cela dure plus longtemps mais je ne lui en voulais pas. Il me fit plein de petits bisous dans le cou tout en essayant de retrouver sa respiration. Sa bite est restée plantée dans ma vulve jusqu’à ce qu’elle l'évacue d’elle-même, faute de vigueur. Il me chuchotait des mots doux à entendre. Il s’est redressé pour retirer le bout de cellophane rempli de sperme. Son méat perlait encore et je l’ai essuyé avec ma main. Il m' a fait mettre sur le coté et il s’est ensuite allongé contre moi, son sexe mou contre mes fesses et une de ses mains recouvrant un de mes seins. Une vraie protection. J’ai aimé passer la nuit avec lui, nue. En tournant la tête je le regardais dormir. De temps en temps, je passais ma main sur ce bout de chair flaque qui avait été le premier à visiter mon antre. Je savais au moins une chose. Je recommencerai très vite et je participerai plus à cet acte d’amour. Je dois avouer que la peur malgré la confiance en mon partenaire m'avait un peu tétanisée. La preuve, nous avons recommencé plusieurs fois depuis et j’ai même eu ma première grande jouissance il y a quelques jours. Un peu plus dégourdie, j’ai pris des initiatives mais je vous raconterai certainement mon évolution sexuelle lors d’une prochaine confession.

 

Par Doumé - Publié dans : Couples
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Commentaires

seriez vous interessé par la publication d'extraits de vos oeuvres sur mon ste http://www.lempiredelaperversion.fr ?
commentaire n° :1 posté par : dépravé le: 28/10/2009 à 05h57

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